La règle du consentement va se faire enculer chez nos ancêtres les Grecs. La règle du désir réciproque la remplace !

La loi franchouille, son Code Pénible, nous dit que le viol, ce qui le différencie d’un acte sexuel après lequel on ne va pas porter plainte, c’est le consentement.

Or qui ne dit rien consent, comme dirait l’autre !

Cette règle, c’est une règle de violeur.

La règle éthique du sexe, chers amis – et ça biologiquement et au fil de l’expérience de la vie tout le monde le ressent, CHAQUE ÊTRE HUMAIN, toujours, à tout âge entre naissance et mort, en toute situation -, la règle du sexe c’est le désir réciproque.

Le désir c’est quand chaque personne impliquée dans la relation dit : je veux ! je veux de toi ! tu me plais ! tu m’attires !

C’est l’amour, l’attirance, l’attraction.

C’est un mouvement affectif positif vers l’autre, si tu cherches des critères clairs et simples.

Cela se nourrit du fait que c’est réciproque, et cela meurt naturellement du fait que ça ne l’est pas.

Certains, certaines insistent, vont trop loin, ça finit en harcèlement : c’est du désir à quoi on n’a jamais dit oui, ou à quoi on a même clairement dit non, et même re-non, mais qui revient, revient, revient. Dans ce cas cela devient du viol mental : l’invasion de l’espace d’attention de la victime n’est évidemment que subie, pas désirée. Personne ne dit jamais : harcèle-moi.

Tandis que le consentement, c’est déjà du forçage. C’est : moi je veux, et toi tu pourrais ne pas t’y opposer. Ce qui devient vite : ne pas pouvoir s’y opposer. Comme chez les Grecs : la démocratie, c’est les hommes libres. Pas les bougnoules, pas les pouffes domestiques, pas les marmots, et surtout pas les esclaves.

Les putes sont ainsi violées avec leur consentement, certes. Elle ne s’y opposent pas, elles ont compris que c’est comme ça.

L’enfant ne comprenant même pas clairement ce qu’on lui demande, il est facile pour un violeur de non-désir d’obtenir une absence de refus clair – par surprise, par étonnement, par peur d’être battu, par la force, par l’intimidation, par la ruse, par l’état de besoin ou de détresse de sa victime, etc. Cela n’en reste pas moins intégralement du VIOL.

Voilà, donc les juristes amateurs là vous allez revoir votre copie parce que nous sous vos lois anti-viol piteuses on s’est quand même bien fait violer, faut dire. C’est comme pour la drogue : on a testé vos méthodes, nos experts ont tranché : vous êtes virés pour faute éthique et professionnelle lourde !

Avis à toutes et tous : vous êtes toutes et tous d’accord avec cet article ! vous savez toutes et tous ce qu’est le désir sexuel : subi, c’est quand même moins marrant ! Quelle que soit la victime. Donc ne tolérez pas ça et apprenez aux gens à faire clairement la différence, parce que ces lois viennent d’un monde dont l’esprit était intoxiqué à la merde de cheval dont on croyait que c’était de la morue, d’après les spécialistes technico-étatiques du domaine.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *